
Hasard du calendrier, en pleine affaire Fillon, l’Assemblée a adopté mercredi de nouvelles règles pour contrer la « défiance » et renforcer la transparence aux élections, notamment une obligation de casier judiciaire vierge. Continuer la lecture
02 Fév

Hasard du calendrier, en pleine affaire Fillon, l’Assemblée a adopté mercredi de nouvelles règles pour contrer la « défiance » et renforcer la transparence aux élections, notamment une obligation de casier judiciaire vierge. Continuer la lecture
30 Sep

Barbara Romagnan (DR)
Une « sanction » pour le Monde, une « exfiltration » pour L’Express, carrément une « purge » pour Libération et Le Figaro. Six députés « frondeurs » ont été écartés de la commission des Affaires sociales par Bruno Le Roux, le président du groupe PS à l’Assemblée nationale. Parmi les mutés, la députée du Doubs Barbara Romagnan. « Ce n’est pas bienvenu alors que nous allons entamer les débats sur le budget de la protection sociale, que le chômage augmente, réagit l’élue bisontine. Sortir les gens d’une commission ne suffira pas à supprimer les débats soulevés. Je ne parle pas pour mon cas personnel, je serai bien à la commission du développement durable, mais je trouve que c’est collectivement regrettable ».
11 Juil

Barbara Romagnan (DR)
C’est une petite victoire des députés « frondeurs » du Parti socialiste, mais une victoire quand même. La députée du Doubs Barbara Romagnan a été finalement élue, ce mardi, rapporteur de la commission d’enquête parlementaire sur le temps de travail. Elle a battu, par sept voix contre six, une autre députée socialiste, Sylviane Bulteau. Ce vote avait été reporté la semaine dernière à la demande de Bruno Le Roux, le patron du groupe PS à l’Assemblée. Une initiative qui s’apparentait à une sanction contre la députée de Besançon, qui s’affranchit régulièrement des consignes de vote du groupe majoritaire.
03 Juil

Barbara Romagnan le 11 juin à l’Assemblée (DR)
La députée PS du Doubs Barbara Romagnan n’a pas été désignée rapporteure de la commission d’enquête parlementaire sur le temps de travail. Elle avait pourtant été porte-parole du groupe PS lors de la demande de création de cette commission le 11 juin. « La pratique aurait donc voulu que ce soit moi qui soit rapporteure », explique la députée bisontine à l’AFP. Il semble que Bruno Le Roux, le président du groupe PS à l’Assemblée, en ait décidé autrement. Un arbitrage pas anodin quand on sait que Barbara Romagnan participe activement au mouvement de l’Appel des 100 et des députés frondeurs à l’Assemblée. Elle n’a voté ni la confiance à Manuel Valls, ni le plan de 50 milliards d’économies du Premier ministre, ni la réforme des retraites ou l’accord sur l’emploi du précédent gouvernement. Les explications de nos confrères de l’AFP.
Télécharger gratuitement l’application franceinfo